Les manuscrits, d’une valeur inestimable, ont été évacués à Bamako entre avril 2012 et janvier 2013. Mais Abdel Kader Haïdara, à l’origine de cette démarche, compte les ramener à Tombouctou dès que la situation politique le permettra. Il bénéficie pour son travail d’une aide internationale ; le ministère des Affaires Etrangères allemand, la fondation Ford, la fondation Gerda Henkel, l’université de Hambourg, ou encore l’Unesco l’accompagnent.
Noémie Gaschy et Sarah Karama